Déclinaisons #2

portrait

Comme promis dans l’article précédent, voici une autre façon de porter la chemise en jeans et les runnings, toujours avec un petit côté décalé.

Chemise en jeans M by Mosquitos – collection actuelle La Halle aux Vêtements –

Jupe Monoprix, déjà vue – collection P/E 2013 -, tee-shirt Petit Bateau – ancienne collection –

Baskets Le Coq Sportif et sac Pourchet – dead stock Léonard Vintage Store et vintage –

Lunettes de soleil Barton Pereira, collier Noémie Pichon, vernis Paris de Mavala

Je reste sur une association jeans/noir qui fonctionne bien je trouve, en version jupe cette fois-ci.

 

J’ai choisi de ne pas rentrer complètement la chemise dans la jupe pour ne pas créer du volume au niveau de la taille mais uniquement les pans de devants.

 

J’ai toujours adoré porter les jupes avec des baskets (un fantasme que j’ai depuis que j’ai vu le film Working Girl avec Mélanie Griffith si la référence vous parle 😉 ).

Pour moi, c’est le comble de la coolitude …

Cooool J’espère que ces 2 déclinaisons vous donneront des idées pour associer vos basiques ! J’essaierai de vous en proposer régulièrement si cela vous intéresse.

Déclinaisons #1

Prête pour la pluie

Je profite d’un léger rafraîchissement des températures pour vous poster une tenue qui date un peu mais qui convient tout à fait à la météo annoncée pour ce mercredi à Lyon : alternance d’averses et d’éclaircies le matin et orageux dans l’après-midi 😉

Tenue sans le trenchImperméable Burberry et sac Pourchet vintage tous les deux – déjà vus

Pantalon Cos – modèle permanent – , chemise en jeans M by Mosquitos – collection P/E 2014 –

Baskets running Le Coq Sportif neuves d’époque – Léonard Vintage Store –

BO La Halle aux Vêtements déjà vues ici – collection actuelle – et lunettes Anne et Valentin

C’est l’occasion aussi de vous proposer une déclinaison de 2 pièces incontournables de cette saison (les running et la chemise en jeans – qui est incontournable depuis bien longtemps) dans 2 looks, dont voici le premier.

Cette chemise en jeans a été ma quête depuis cet hiver : je voulais qu’elle soit dans un tissu plus souple que ma Levi’s afin de pouvoir la porter comme une chemise classique, que son col ne soit pas trop présent et surtout qu’elle n’ait aucune fioriture car pour un basique, la règle est « less is more ».

Et j’ai enfin trouvé mon bonheur avec ce modèle de la marque M by Mosquitos, une merveille de douceur (100 % Lyocell donc biodégradable et fabriquée dans le respect de l’environnement). Aussi étonnant que cela puisse paraître, c’est à La Halle aux Vêtements que j’ai découvert cette marque et une promotion à -30 % (soit 21 € la chemise) a fini de me convaincre.

 

Vous avez sans doute remarqué que les baskets de sport se font une place de choix dans notre shoesing depuis plusieurs années, s’incrustant dans des looks streetwear mais également plus classiques.

Après les sneakers, ce sont les running qui ont le vent en poupe, et qui se déclinent dans des coloris très vifs et des imprimés délirants pour cette saison.

Running Le Coq Sportif

Pour ma part, je n’ai pas cédé à l’appel des New Balance et suis restée fidèle à mes habitudes/principes d’achats : une paire de running Le Coq Sportif, dénichées il y a un an chez Léonard Vintage Store, le roi du Dead Stock (invendus d’époque) en matière de chaussures de sport à Lyon (mais pas que, souvenez-vous, j’y ai trouvé aussi une robe et deux chemises).

Je les ai beaucoup porté cet été avec ma jupe longue, des short, des jeans, des jupes courtes mais n’avais pas eu l’occasion de vous les montrer sur ce blog et encore moins en version citadine.

Ici, je les porte donc avec mon pantalon noir Cos, déjà vu , et qui est vraiment une valeur sûre, en toute saison.

Voilà donc un look avec que des basiques dedans, hormis les baskets qui apportent une touche décalée que j’aime bien.

Je vous donne donc rendez-vous dans un prochain post pour un nouveau look avec le même duo gagnant, histoire de vous donner des idées d’association !

 

 

Urban Jungle

Je voulais vous montrer cette veste American Vintage portée dans un contexte différent.

Col veste American Vintage

C’est vrai qu’avec son imprimé et sa couleur jaune bien acide, elle peut sembler difficile à associer ou encore à porter en dehors d’une occasion particulière.

Veste American Vintage

Mais cela aurait été vraiment dommage de la laisser dormir au fond de la penderie jusqu’au prochain mariage, non ?

Pour ma part, j’aime l’idée d’une garde-robe multi-usages, de pouvoir par une nouvelle association, porter un vêtement jusque-là cantonné à une seule occasion, ou à une seule saison.

Le secret, avec une pièce forte, c’est de la mixer avec des tons neutres, des éléments casual et finalement de la porter le plus simplement du monde.

Veste American Vintage – P/E 2013 – , tee-shirt Monoprix – ancienne collection –

Jeans Zara déjà porté ici – seconde main -, baskets André – ancienne collection bradée –

Sac Pourchet et ceinture en cuir – vintage –

BO La Halle aux Vêtements – collection actuelle – , lunettes de soleil Barton Pereira – déjà vues ici

Ici, je ai donc calmé ma veste avec mon nouveau jeans doudou et une paire de baskets type Pataugas, embarquées il y a quelques années maintenant, lors des ultimes soldes chez André.

Leur couleur improbable m’avait bien plu et le prix (à peine 12 €) avait fini de me convaincre.

Ici, elles font un bon substitut à mes chaussures de Cendrillon, jolies mais moins confortables pour arpenter la jungle urbaine 😉

Crédit photos : Biscotte

Marseille #2

Comme promis, voici de nouvelles photos de Marseille !

Jour 1

La cité radieuse

Toit terrasse

Supermarché La Cité Radieuse

Après avoir posé nos valises à notre hôtel, à côté de la place Castellane, nous avons longé la grande avenue du Prado pour rejoindre la Cité Radieuse, le gigantesque bâtiment conçu par Le Corbusier à Marseille au début des années 50, dont le toit terrasse offre un panorama incroyable sur les quartiers sud, le front de mer et le massif montagneux.

Toit terrasse la Cité Radieuse

Toit terrasse 2

Toit terrasse 3Conçue dès l’origine comme le manifeste d’une nouveau style d’habitat, fonctionnel et social, la Cité Radieuse comporte plus de 300 logements, une rue marchande, une piscine, un gymnase et même une école maternelle !

Quartiers Sud

Bassin la Cité Radieuse

panoramaPlus de 1000 personnes y vivent aujourd’hui, même si les commerces ont pour la plupart laissé la place à des bureaux. Le toit terrasse est en libre accès et il est possible de visiter gratuitement un appartement témoin le vendredi après-midi (ce que j’aimerais bien faire la prochaine fois).

Le Modulor

assortieY a pas de la pipette, là ???

Boîte aux lettres

Nous avons ensuite rejoint le parc balnéaire du Prado pour un peu de farniente sur la plage avant de partir à l’assaut de la corniche Kennedy, longue promenade sur le front de mer, qui permet de découvrir plusieurs quartiers de Marseille pour le moins pittoresques, avec une vue incroyable.

Corniche Kennedy

le château d'if vu de la corniche

Nous avons tout fait à pied (3 km quand même) et avons pu admirer des villas magnifiques, avec un point de vue de dingue sur la mer, encore et toujours.

Le quartier du Bompard / Roucas Blanc ainsi que celui du Vallon des Auffes, que la corniche dessert, sont comme hors du temps, on a l’impression d’être à mille lieues de Marseille et pourtant …

Roucas Blanc

Vallon des AuffesLe Vallon des Auffes, petit port de pêche adorable

Après toute cette marche, nous avons fait halte au jardin du Pharo, perché sur un promontoire au-dessus du Vieux Port. Là encore, la situation entre terre et mer est à couper le souffle.

Mucem

Nous redescendons ensuite vers le Vieux-Port et admirons l’ombrière de l’architecte Norman Forster, sorte de tonnelle gigantesque et renversante puisque personne ne résiste à la séance photo, tête en l’air.

Plus de 1000 m2 de surface couverte de miroirs réfléchissant les allées et venues des passants, c’est vivant et beau !

Ombrière Marseille

MTV Ombrière

Jour 2

Nous décidons de commencer la journée par une visite à la Basilique Notre Dame de la Garde, qui domine Marseille du haut d’une colline culminant à 160 m d’altitude. De là-haut, le panorama à 360° est incroyable et la ville s’étend dans toute sa diversité.

Vue ND de la Garde

 

Vue 2

Basilique ND de la Garde

La Basilique en elle-même est un petit bijou d’art romano-byzantin et sa crypte vaut également le détour. Nous sommes tombés sur un choeur de chanteurs suédois qui ont interprété des chants religieux vraiment magnifiques.

Choeur suédois

 

ND de la Garde

ND de la Garde 2

Énormément de touristes se pressent pour la visiter, mais tous n’ont pas le courage (ni la capacité physique) pour grimper la colline de la Garde à pied. Nous-même avons opté pour un bus à la montée puis sommes redescendus à pied jusqu’au Vieux-Port.

ND de la Garde ext

ND de la Garde ext 2

MTV ND de la GardeNon mais admirez le raccord rayures 😉

Du Vieux-Port, nous avons pris une navette pour rejoindre les îles du Frioul, où nous avons passé l’après-midi. C’est une balade qui vaut le détour car le point de vue sur la ville depuis le bateau est saisissant.

Mucem de la merLe fort St Jean et le MUCEM

Palais du PharoLe palais du Pharo

chateau d'ifLe château d’if

Et les paysages arides et torturés des îles, alternant avec les magnifiques criques à l’eau ultra claire (je me suis baignée d’ailleurs, c’était trop tentant même si encore un peu frais à cette époque), sont à couper le souffle.

CalanqueC’est moi, la deuxième tête la plus éloignée 😉

Calanque 2

Petit port

L’archipel du Frioul est composé de trois îles et d’un îlot, qui ont accueilli au temps où la peste sévissait, les personnes mises en quarantaine, d’où la présence de ruines d’un hôpital sur l’île de Ratonneau. Les vestiges rajoutent à une ambiance vraiment incroyable aux paysages érodés, calcinés et une impression de bout du monde se dégage de ces lieux.

Frioul

Hôpital Caroline

Frioul 3

Jour 3

Nous avons consacré ce dernier à jour à nous balader et à faire du shopping, dans le quartier de la Plaine notamment, qui regorge de boutiques de créateurs, de design, de friperies et d’un marché « authentique » et haut en couleurs. Et nous avons fini la journée à la plage, encore une fois !

Voilà, j’espère que cette carte postale de Marseille vous aura plu !